L’inhalation de polluants atmosphériques au cours des six premiers mois de vie pourrait affecter les bactéries intestinales d’un bébé -provoquant des altérations dans leur composition liées à un plus grand risque d’allergies, d’obésité et de diabète- voire influencer le développement du cerveau, conclut une nouvelle étude.

La communauté scientifique a réagi aux travaux de recherche parus dans la revue scientifique Cell, qui suggéraient que l’effet des probiotiques n’était pas celui escompté, en remettant en question ces recherches et défendant les bienfaits de certaines bactéries.