À propos de Cristina Sáez

Cristina Saez est une journaliste scientifique indépendante. Elle coordonne la section scientifique du journal ARA et écrit pour plusieurs médias, tels que le magazine National Geographic, des centres de recherche et des sociétés scientifiques. Elle a été récompensée pour son travail journalistique par plusieurs prix, notamment les prix Boehringer Ingelheim, Fondation Roche, Accenture et Concha Garcia Campoy, tous dans le domaine du journalisme médical. Elle est l’auteure de La ciencia de microbiota (Cúpula, 2022) et de Siempre adelante, les mémoires du cardiologue Valentí Fuster (Cúpula, 2024). Suivez Cristina sur Bluesky @crisaez.bsky.social.

Les scientifiques ont beau connaitre l’importance d’une communauté riche, équilibrée et résiliente de microorganismes dans le côlon pour notre bienêtre et jouir d’une bonne santé, ils n’ont toujours pas réussi à définir le microbiote sain. Une nouvelle étude avec plus de 8 000 participants pourrait éclairer cette question.

Alors que pendant longtemps la communauté scientifique a assumé que l’entrainement du système immunitaire commençait après la naissance, avec la colonisation du bébé par le microbiote maternel, voilà que des scientifiques de l’Université de Yale suggèrent que ce processus démarrerait bien avant, dans l’utérus.

Avoir une alimentation variée, riche en fruits, légumes, céréales complètes et aliments fermentés pourrait jouer un rôle protecteur contre les formes graves de la COVID-19. Un nouvel article présente une hypothèse mettant en avant le lien entre un microbiote intestinal moins diversifié, la consommation élevée d’aliments transformés et riches en sucre et les cas sévères de la Covid-19 dans les pays occidentaux.

Un microbiote intestinal équilibré est crucial pour la santé mentale. Découvrez comment les bactéries intestinales affectent notre système nerveux central dès la vie fœtale et comment des scientifiques cherchent la façon dont le microbiome pourrait améliorer ou traiter les symptômes des maladies neurologiques.

Les chercheurs étudient depuis peu le possible rôle protecteur du microbiote intestinal contre la COVID-19 ou, au contraire, sa propension à augmenter le risque de contracter une forme plus sévère de la maladie. Les conclusions pourraient revêtir une grande importance dans la prévention de la mortalité élevée chez les personnes âgées, notamment celles qui résident en maison de retraite.

Go to Top